Jai été à l'urgence aprés 2 jous de diagnostic, le medecin me dit que tout est normal, et on me prescrit de la Morphine comme calement. Je suis rentrée toujours avec la douleur. Comment on peut avoir une si forte douleur et qu'on arrive pas à trouver le probléme, toute douleur est du à quelque chose. J'ai vraiment besoin de votre aide, je souffre en ce moment.
DĂ©finition du mot PointĂ© POINTE. n. f. ExtrĂ©mitĂ© piquante et aiguĂ« de quelque chose que ce soit. Pointe acĂ©rĂ©e. La pointe d'une Ă©pine, d'une arĂȘte. La pointe d'une Ă©pie, d'une aiguille, d'un clou, etc. Les pointes d'un compas. La pointe d'un crayon. Aiguiser, Ă©mousser la pointe d'un couteau. Fig., La pointe de l' Disputer, raisonner sur une pointe, sur des pointes d'aiguille, Disputer, raisonner sur des la pointe de l'Ă©pĂ©e, Les armes Ă la main. Il ne put rien obtenir qu'Ă la pointe de l'Ă©pĂ©e. Soutenir une chose Ă la pointe de l' Emporter une chose Ă la pointe de l'Ă©pĂ©e, L'emporter par un effort court et termes d'Escrime, Coup de pointe, Coup portĂ© avec la pointe du fleuret, de l'Ă©pĂ©e ou du se dit, dans plusieurs Arts et MĂ©tiers, de Certains instruments de fer ou d'acier qui servent Ă diffĂ©rents usages. Les sculpteurs se servent d'une pointe pour Ă©baucher leur ouvrage. On trace des lignes avec une pointe sur le bois, sur le fer, sur la pierre. Pointe Ă tracer. Dans la gravure Ă l'eau-forte, on se sert d'une pointe d'acier pour dessiner sur le vernis dont la planche est enduite, et dĂ©couvrir ainsi les parties oĂč l'acide doit mordre. Pointe de diamant ou, simplement, Diamant, Petit morceau de diamant taillĂ© en pointe, enchĂąssĂ© dans du plomb et dans un morceau de bois en forme de rabot, dont les vitriers se servent pour couper le termes de Chirurgie, Pointe de feu, CautĂšre pointu et, par extension, Petite brĂ»lure faite par le sĂšche, Pointe dont les graveurs se servent pour former, sur le cuivre nu, des traits fins et dĂ©licats. Gravure Ă la pointe sĂšche. Il dĂ©signe, par extension, les Estampes gravĂ©es par ce procĂ©dĂ©. Il y a de trĂšs belles pointes sĂšches de ce en termes de Gravure, se dit quelquefois de la ManiĂšre d'opĂ©rer avec la pointe. Pointe dĂ©licate, lĂ©gĂšre, etc. POINTE se dit aussi de Petits clous longs et minces, sans tĂȘte ou Ă tĂȘte trĂšs petite. Les vitriers fixent les morceaux de verre avec des pointes. La colle ne suffit pas pour faire tenir ce morceau de bois, il faut y mettre quelques pointes. Fixer une planche avec de longues pointes. POINTE se dit encore du Bout, de l'extrĂ©mitĂ© des choses qui vont en diminuant. La pointe des herbes. Des pointes d'asperges. La pointe d'un clocher. La pointe d'une montagne, d'un rocher, d'un cap. La pointe de l'Ăźle. La pointe du cĆur. Il marche sur la pointe des pieds. Il porte la pointe du pied en dehors. Se dresser sur la pointe des pieds. En termes de Danse, Danser sur les pointes, Faire des pointes, Danser, se tenir sur la pointe des termes de GĂ©ographie, Pointe de terre, Espace de terre qui s'avance dans la mer. La pointe de termes de Guerre, Avoir, tenir la pointe de l'aile droite, de l'aile gauche, Ătre placĂ© Ă l'extrĂ©mitĂ© de l'aile droite, de l'aile termes de Sellerie, Pointe de l'arçon, se dit des Parties qui forment le bas de l'arçon d'une termes de Fortification, La pointe d'un bastion, L'angle le plus avancĂ© du cĂŽtĂ© de la campagne. Le canon des assiĂ©geants avait a battu la pointe du pointe du jour, Le point du jour, la premiĂšre apparence du jour. Il partit Ă la pointe du jour, Ă la petite pointe du en termes de Blason, dĂ©signe la Partie basse de l'Ă©cu. Pointe coupĂ©e d'or et d'azur. La pointe chargĂ©e d'une tour d'argent. POINTE se dit aussi, en termes de Couture, d'un Morceau d'Ă©toffe ou de linge, taillĂ© en pointe, que l'on coud sur les cĂŽtĂ©s d'une jupe ou d'une chemise de femme, entre le devant et le derriĂšre, pour donner plus de tour, plus d'ampleur au vĂȘtement. En termes de Cuisine, Pointe dĂ©signe une Petite quantitĂ© d'un assaisonnement piquant et agrĂ©able. Il manque Ă cette sauce une pointe de sel, de poivre, de vinaigre. Une pointe d' et fam., Avoir une pointe de vin, une petite pointe de vin, Ătre en gaietĂ©, pour avoir bu un peu plus que de raison. Il avait une pointe de vin quand il a dit Une pointe d'ironie, de raillerie, Quelque chose d'ironique, de moqueur, qui se fait sentir dans un Ă©crit, dans un discours. Il y a, dans ses paroles, une certaine pointe d'ironie qu'il est difficile de ne pas sentir. On dit de mĂȘme Une pointe de jalousie. Une pointe de signifie aussi, figurĂ©ment, Trait d'esprit recherchĂ©, subtil, piquant. Cet homme affecte de ne parler que par pointes, de dire toujours des pointes. Lancer des pointes. Mauvaise pointe. MĂ©chante pointe. Pointe d'Ă©pigramme, La fin d'une Ă©pigramme terminĂ©e par quelque pensĂ©e piquante. La pointe de cette Ă©pigramme est en termes de Chasse, dĂ©signe le Vol d'un oiseau qui s'Ă©lĂšve vers le ciel. L'oiseau fit la pointe et tondit tout d'un coup sur la perdrix. Fig., Faire une pointe, Quitter un moment son chemin, pour faire une course dans le voisinage. Si vous passez par lĂ , faites une pointe jusque chez termes de Guerre, Faire une pointe, S'Ă©loigner momentanĂ©ment de sa ligne d' et fam., Suivre, poursuivre, pousser sa pointe, Suivre son dessein, continuer ce qu'on a entrepris, avec la mĂȘme chaleur, la mĂȘme vigueur qu'on l'a commencĂ©. Quand on a bien commencĂ©, il faut suivre, pousser sa pointe. L'accueil que lui fit cette jeune veuve l'enhardit Ă pousser sa se dit encore d'un Fichu en forme de pointe. Une pointe de soie, de dentelle. En termes d'Architecture et d'ĂbĂ©nisterie, Pointes de diamant se dit de Certains ornements affectant la forme d'un diamant taillĂ©. Des pierres taillĂ©es en pointe de diamant. Tout ou partie de cette dĂ©finition est extrait du Dictionnaire de l'AcadĂ©mie française, huitiĂšme Ă©dition, 1932-1935 Synonymes de PointĂ© classĂ©s par nombre de lettres Afin de vous aider dans vos mots croisĂ©s ou mots flĂ©chĂ©s, nous avons classĂ© les synonymes de PointĂ© par nombre de lettres. Synonymes de PointĂ© en 4 lettres Synonymes de PointĂ© en 5 lettres Synonymes de PointĂ© en 6 lettres Synonymes de PointĂ© en 7 lettres Synonymes de PointĂ© en 8 lettres
Lesferrures coulissantes levantes GU 937 s'appliquent sur portes et fenĂȘtres de 2 Ă 4 vantaux de 150 kg maximum. L'action sur la poignĂ©e permet de soulever la porte et de la faire glisser latĂ©ralement pour l'ouvrir. Les ferrures coulissantes Ă translation GU 966/150 MZ s'appliquent sur les portes et fenĂȘtres Ă vantaux de 150 kg maximum
Lasolution à ce puzzle est constituéÚ de 10 lettres et commence par la lettre J. Les solutions pour EN HAUT QUAND LA FEMME EST EN BAS 10 LETTRES de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle
La solution Ă ce puzzle est constituéÚ de 8 lettres et commence par la lettre U CodyCross Solution â pour COUP DE POING DE BAS EN HAUT EN BOXE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "COUP DE POING DE BAS EN HAUT EN BOXE" CodyCross Inventions Groupe 60 Grille 4 3 1 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Inventions Solution 60 Groupe 4 Similaires
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EmileZola, Lettre Ă Henri CĂ©ard, le 22 mars 1885, Ă propos de Germinal. Agrandissement Ă©pique et Ă©criture naturaliste Le second point, câest mon tempĂ©rament lyrique, mon agrandissement de la vĂ©ritĂ©. Vous savez ça depuis longtemps, vous. Vous nâĂȘtes pas stupĂ©fait, comme les autres, de trouver en moi un poĂšte.
Voici toutes les solution Coup de boxeur portĂ© de bas en haut. CodyCross est un jeu addictif dĂ©veloppĂ© par Fanatee. Ătes-vous Ă la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont la planĂšte Terre, sous la mer, les inventions, les saisons, le cirque, les transports et les arts culinaires. Nous partageons toutes les rĂ©ponses pour ce jeu ci-dessous. La derniĂšre fonctionnalitĂ© de Codycross est que vous pouvez rĂ©ellement synchroniser votre jeu et y jouer Ă partir d'un autre appareil. Connectez-vous simplement avec Facebook et suivez les instructions qui vous sont donnĂ©es par les dĂ©veloppeurs. Cette page contient des rĂ©ponses Ă un puzzle Coup de boxeur portĂ© de bas en haut. Coup de boxeur portĂ© de bas en haut La solution Ă ce niveau uppercut Revenir Ă la liste des niveauxLoading comments...please wait... Solutions Codycross pour d'autres langues Lasolution Ă ce puzzle est constituéÚ de 8 lettres et commence par la lettre U. CodyCross Solution pour COUP DE POING DE BAS EN HAUT EN BOXE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle.| ĐĐ»áŁÏĐž ŃĐ”ÏĐ”áá | Đ Đ”áŐžŃлалÖĐ·Őž ŃĐżÏŐ€ŃŃĐŸĐżŃ | ĐŃÎŒŃĐŒĐ°á ĐșŃŃ | ÎŐŹáжаá ĐžÏĐ”ŐŒĐ”ášĐžá”Ń |
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ProblĂšmede voisinage : arbres trop hauts. Mon voisin m'envoie l'huissier, sans prĂ©avis prĂ©alable, pour m'obliger Ă couper mes arbres. Ils sont sur ma propriĂ©tĂ©, mais sont trop hauts et le gĂȘneraient. Pourriez-vous me dire quelle est la hauteur maximum pour des arbres en bordure de parcelle, mais qui ne sont pas en haie. ?
1Antoine Faivre, collection GODF, © Ronan LoaecAntoine Faivre, collection GODF, © Ronan Loaec2Le thĂšme de rĂ©flexion proposĂ© Ă lâoccasion de la DeuxiĂšme Rencontre Maçonnique Lafayette [1] a portĂ© sur ces mots tirĂ©s du verset 2 de La Table dâĂmeraude Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ».3Dans les annĂ©es 1990 jâai consacrĂ© une cinquantaine dâheures de mon sĂ©minaire de lâĂcole Pratique des Hautes Ătudes, Section des Sciences Religieuses [2], Ă lâhistoire contrastĂ©e des interprĂ©tations de cet Ă©nigmatique poĂšme [3]. Et cela, quâil sâagisse de littĂ©rature alchimique, de cosmologie Isaac Newton a tentĂ© dây trouver un sens physique et mĂ©taphysique, de philosophie Franz von Baader en a fait un des fondements de sa Philosophie de la Nature, de psychologie avec Carl Gustav Jung, notamment, de spĂ©culations de type pĂ©rennialiste avec Titus Buckhardt et dâautres situĂ©s dans la mouvance nĂ©o-guĂ©nonienne, ou encore â last but not least â de Franc-Maçonnerie. Maintes approches, qui souvent ne se recoupent guĂšre. On ne saura probablement jamais ce que lâauteur a vraiment voulu dire â mais peu importe, dĂšs lors que maints lecteurs auront trouvĂ© dans ce texte matiĂšre Ă penser, Ă imaginerâŠ4Aussi surprenant que cela paraisse, lâidĂ©e ne mâĂ©tait encore jamais venue de me livrer Ă des commentaires personnels de ce texte. Câest lâoccasion de la DeuxiĂšme Rencontre Lafayette, qui me lâa soufflĂ©e. Voici donc quelques rĂ©flexions, centrĂ©es principalement autour de la citation, sans perdre de vue son contexte â celui du texte complet, prĂ©sentĂ© ici en appendice. Elles ne sont lâexpression dâaucune position personnelle dâordre spirituel, mĂ©taphysique, philosophique, etc. Elles ne sont porteuses dâaucun message de ce Appolonius de Tyane que HermĂšs TrismĂ©giste5Commençons par un peu dâhistoire. Cet Ă©trange poĂšme a connu plusieurs versions. La toute premiĂšre connue se trouve Ă la fin dâun traitĂ© attribuĂ© non pas Ă HermĂšs TrismĂ©giste mais Ă Apollonius de Tyane â 1er siĂšcle de lâĂšre chrĂ©tienne â, mage, pythagoricien, thaumaturge, dont il existe des biographies romancĂ©es. Câest le Livre des secrets de la crĂ©ation, qui traite de la constitution de lâunivers en la rapportant Ă lâordre de la crĂ©ation. Lâoriginal grec est perdu, on nâen a quâune traduction arabe qui date du VIe siĂšcle certains philologues disent du IXe. La Table dâĂmeraude figure Ă la fin de ce traitĂ© dâApollonius. Elle en a Ă©tĂ© extraite, en traduction latine, dans lâOccident du moyen-Ăąge, pendant lequel il a circulĂ© de façon autonome et relativement restreinte [4]. Ă cette Ă©poque sont apparus les tout premiers commentaires. Ainsi, celui de Roger Bacon vers le milieu du XIIIe siĂšcle, celui dâun certain Hortulanus lâHortulain au milieu ou au dĂ©but du XIVe. Sa version latine courante cf. la traduction française, en appendice a Ă©tĂ© imprimĂ©e pour la premiĂšre fois en 1541, dans une anthologie intitulĂ©e De Alchemia. Date importante, car cette Ă©dition a suscitĂ© une grande diffusion, et du mĂȘme coup maints commentaires â depuis la Renaissance jusquâĂ aujourdâ on cite La Table dâĂmeraude, câest gĂ©nĂ©ralement le deuxiĂšme verset Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut et ce qui est en haut, est comme ce qui est en bas, pour faire les miracles dâune seule chose », de mĂȘme quâil nous arrive dâentonner les premiers mots dâune chanson dont nous avons oubliĂ© les suivants. Je lâaborde ici en lâinterrogeant sur deux questions fondamentales quâil semble appeler quant Ă notre vision du monde dâune part, la question de la transcendance et de lâimmanence ; dâautre part, celle de lâinterrelation entre deux ordres de rĂ©alitĂ© diffĂ©rents lâun de lâautre. Ensuite, quelques points seront Ă©voquĂ©s portant sur les rapports possibles ou rĂ©els entre ce verset et la question transcendance/immanence deux cas de figure7 Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut » âŠ8Le bas », câest nous, le monde visible qui nous entoure directement, mais quid de ce haut » ? On peut lâentendre de deux cas de figure Câest le ciel peuplĂ© dâĂ©toiles â le cosmos au-dessus et autour de nous. Ă savoir, une des deux composantes dâun tout dont lâautre composante serait le bas » notre terre, notre monde. Il peut sâagir dâun macrocosme un grand monde, et dâun microcosme un petit mondeâ, sans quâil y ait une troisiĂšme composante ; Ă savoir, sans une transcendance qui viendrait les surplomber. Cela relĂšve de lâ du Triomphe hermĂ©tique ou la Pierre philosophale victorieuse, Amterdam, Henry Wetstein, 1699Frontispice du Triomphe hermĂ©tique ou la Pierre philosophale victorieuse, Amterdam, Henry Wetstein, 169910Pensons Ă lâastrologie. Et Ă dâautres mancies systĂšmes de divination qui reposent elles aussi sur lâidĂ©e que certains supports symboliques, manipulĂ©s de façon appropriĂ©e, nous permettraient de nous brancher sur des Ă©lĂ©ments du macrocosme normalement invisibles aux yeux du microcosme que nous sommes. On pourrait dire ici que le haut » et le bas » sont comme la chaĂźne et la trame dâun tapis. Or, en principe un tapis nâest pas surplombĂ©, transcendĂ©â, par un autre tapisâŠ11Mais nous pouvons aussi, second cas de figure, imaginer que grand monde et petit monde pris ensemble relĂšvent tous les deux du bas », et quâun haut », appelĂ© transcendance, les surplombe. La question est alors de savoir de quoi cette transcendance peut bien ĂȘtre faite. Libre Ă chacun de lâimaginer selon ses prĂ©fĂ©rences! Si vous imaginez son contenu comme radicalement Ă©tranger, voire opposĂ©, Ă tout ce qui se trouve au-dessous, alors il nây a vraiment pas lieu de dire quâil est comme » sicut ce qui est en bas. Mais si, au contraire, vous imaginez que ces deux plans immanence et transcendance prĂ©sentent des ressemblances considĂ©rables, alors vous pouvez dire que lâun est comme » sicut lâautre. Par exemple, Swedenborg, le cĂ©lĂšbre visionnaire suĂ©dois du XVIIIe siĂšcle, grand visiteur des paysages de lâaudelĂ , voit les cieux au sens transcendantal du terme comme une sorte de doublon de notre monde. Ils sont peuplĂ©s dâanges, lesquels ne sont dâailleurs que des humains ayant vĂ©cu sur terre. Ils y demeurent dans des villes, dans des campagnes, ils y vaquent Ă leurs affaires, ils se marient â tout comme » sicut nous, Ă cette diffĂ©rence prĂšs que lâharmonie y rĂšgne mieux quâici-bas, y compris entre hommes et femmes⊠[5]La question de lâinteraction deux cas de figure12Ce verset II, pris en son entier, nous dit obscurĂ©ment que sâil y a un comme » sicut, câest pour faire les miracles dâune seule chose » ad perpetranda miracula rei unius. Or, si ce comme » sicut renvoie explicitement Ă la notion de ressemblance entre les deux plans, il ne dit pas pour autant si lâun agit sur lâ avons donc affaire, ici encore, Ă deux cas de figure. Dans le premier, la ressemblance nâimplique aucune action dâun plan sur lâautre, a fortiori aucune interaction. Par exemple, au XVIe siĂšcle, certains textes de Paracelse traitant dâastrologie expliquent que les images des constellations cĂ©lestes le haut » rĂ©sident aussi Ă lâintĂ©rieur de nous-mĂȘmes le bas ». Ce sont les mĂȘmes images que dans le ciel. Il nây a rien dans le ciel », Ă©crit Paracelse, qui ne soit aussi dans lâhomme » Es gibt nichts im Himmel noch auf Erden, was nicht auch im Menschen sei. Dans lâhomme se trouvent toutes les planĂštes et les Ă©toiles, la Lune, le Soleil. Ils sont intrinsĂšques aux crĂ©atures terrestres vivantes ou inanimĂ©es, et aux quatre Ă©lĂ©ments. Le cours des astres est sans action sur la durĂ©e de la vie humaine [6]. Ils annoncent lâavenir, mais simplement pour autant quâils indiquent la destinĂ©e des objets individuels ; eux mĂȘmes nâinfluent ni sur les objets, ni sur les Ă©vĂ©nements [7]. Autrement dit, il nâest nul besoin que le ciel exerce une influence sur nous, puisque ces images en nous suffisent Ă rendre compte dâune partie de nos actions, de notre destinĂ©e. Il nây a pas ce premier cas de figure par un autre exemple, en revenant Ă Swedenborg. Dans son livre The Divine Love of Wisdom, le haut » sâappelle le spirituel », et le bas » sâappelle le naturel ». Il Ă©crit Il y a deux mondes, le spirituel et le naturel, qui sont absolument distincts. Lâun ne tire rien de lâautre, mais ils communiquent seulement par correspondances » entendons, par reflets » [8]. Autrement dit, le jeu des fameuses correspondancesâ swedenborgiennes repose seulement sur lâidĂ©e que le paysage cĂ©leste reflĂšte notre monde, et vice-versa. Mais ils ne sont pas liĂ©s lâun Ă lâautre de façon organique, il nây a pas complĂ©mentaritĂ© active entre eux. Nous avons donc affaire ici Ă un dualisme une sorte de dualisme statique.15VoilĂ pour le premier cas de figure. Dans le second il y a, au contraire, action dâun des deux plans sur lâautre, voire action rĂ©ciproque. Convoquons de nouveau Paracelse. En effet, quand il parle non pas des astres proprement dits, mais de lâĂąme du monde qui habite et dirige lâunivers [9], alors il Ă©voque la possibilitĂ© de voyages vers elle entrepris pas notre Ăąme humaine. Ainsi, quand celle-ci se libĂšre un tant soit peu des liens du corps, elle sâen va fabuler » avec lâĂąme du monde, et en rapporte de merveilleux songes [10].16Lâinteraction est encore plus marquĂ©e chez Jacob Böhme, le premier grand reprĂ©sentant du courant quâon appelle la thĂ©osophie chrĂ©tienne et dont lâessor a commencĂ© au dĂ©but du XVIIe siĂšcle. Certes, chez lui aussi et chez ceux qui se situent dans sa mouvance, le haut », câest le Monde divin lui-mĂȘme trĂšs feuilletĂ©, trĂšs peuplĂ©, et le bas », ce sont lâHomme et la Nature. Pourtant, nous sommes bien loin de la vision swedenborgienne, car un scĂ©nario complexe se joue entre les trois dramatis personae Monde divin, Homme, et Nature en perpĂ©tuelle et dramatique interaction, scĂ©nario qui passe par divers Ă©pisodes successifs de chutes et de remontĂ©es dâaucuns diront plus tard de rĂ©intĂ©grations [11]. Or, câest dans ce second cas de figure que dâautres versets de La Table dâĂmeraude viennent sâinscrire â sans pour autant dĂ©rouler des pĂ©ripĂ©ties aussi complexes que dans la thĂ©osophie chrĂ©tienne. Les versets III Ă VI, notamment, nous apprennent que toutes les choses » omnes res proviennent dâune chose unique » fuerunt ab uno, dâune sorte de cause originelle qui leur aurait donnĂ© existence par sa mĂ©ditation » meditatione ; Böhme dira par son imagination crĂ©atrice. Et cette idĂ©e est accentuĂ©e aux versets V et VI, dans lâĂ©tonnante proposition Sa force [= la force de la chose unique] est entiĂšre, si elle est convertie en terre » Vis ejus integra est, si versa fuerit in terram. Autrement dit, cette cause originelle, qui est ce quâil y a de plus haut », ne rĂ©alise vraiment son accomplissement quâen venant sâincarner dans le bas » â dans lâhomme et dans la Nature. On peut ĂȘtre tentĂ© dâinterprĂ©ter cela dans un sens chrĂ©tien, ce qui nâĂ©tait certainement pas lâintention du rĂ©dacteur originel. Câest pourtant dans ce sens lĂ que â pour ne citer quâun seul exemple â lâun des principaux reprĂ©sentants de la Naturphilosophie dans lâAllemagne du XIXe siĂšcle, Franz von Baader, a citĂ© ce verset un nombre considĂ©rable de fois. Comme il est dit plus haut, il en a fait un des principes sur lesquels repose sa philosophie [12].17Remarquons aussi que le verset VIII vient encore renforcer cette idĂ©e dâune interpĂ©nĂ©tration du haut » et du bas » en posant un mouvement Ă la fois ascendant et descendant Il [= le Un originel] monte de la terre au ciel, et derechef il descend en terre, et il reçoit [ainsi] la force des choses supĂ©rieures et infĂ©rieures » Ascendit a terra in coelum, iterumque descendit in terram, et recipit vim superiorum et inferiorum. Autrement dit, le haut » a besoin du bas » pour sâaccomplir⊠Il ressort de ces versets III Ă VIII que le deuxiĂšme est moins chargĂ© dâambigĂŒitĂ© si on le situe dans le contexte du poĂšme entier. Certes, on ignore ce que le rĂ©dacteur avait entendu par le hautâ, mais on sait au moins que selon lui les deux plans sont en avec la Franc-Maçonnerie18En quoi les considĂ©rations qui prĂ©cĂšdent concernent-elles la Franc-Maçonnerie ? CĂ©line Bryon-Portet semble avoir bien balisĂ© le terrain, tant dans son allocution prononcĂ©e Ă la DeuxiĂšme Rencontre Maçonnique, que dans son livre LâUtopie maçonnique [13], y compris sur des points auxquels je nâaurais pas pensĂ©. La question est dâautant plus appropriĂ©e que la citation qui fait lâobjet du prĂ©sent article est souvent prĂ©sente dans les discours maçonniques. Rien quâen France, La Table dâĂmeraude est le nom confĂ©rĂ© Ă plusieurs loges par exemple, Ă la Grande Loge FĂ©minine de France, au Grand Orient, etc., et il y en a en bien dâautres pays. Si nous consultons lâinternet en Ă©crivant Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut franc-maçonnerie », nous dĂ©couvrons une multitude de blogs et de sites, surtout si la demande est formulĂ©e en anglais et en dâautres langues. Dans lâabondante littĂ©rature imprimĂ©e produite par des maçons on trouve maints commentaires soit du dĂ©but de la Table, soit de celle-ci en son entier. On y constate une grande variĂ©tĂ© dâinterprĂ©tations. Notons cette formulation, prĂ©sente dans un forum maçonnique de discussion La Table dâĂmeraude nâest rien de plus que lâexposĂ© dâune procĂ©dure initiatique universelle qui se retrouve en tous temps et en tous lieux, exprimĂ©e avec les mots et les idĂ©es du moment et de lâendroit ». On ne saurait mieux dire pour satisfaire Ă peu prĂšs tout le monde â Ă condition de ne pas y regarder de trop prĂšs, notamment de ne pas trop douter de lâexistence de cette procĂ©dure initiatique universelle »âŠLâemblĂšme de la Tabula Smaradigma Hermetis au fontispice du traitĂ© alchimique de la Toison dâOr, 1613LâemblĂšme de la Tabula Smaradigma Hermetis au fontispice du traitĂ© alchimique de la Toison dâOr, 161319En outre, les quatre cas de figure prĂ©sentĂ©s plus haut sembleraient compatibles avec lâesprit part, en effet, symbolisme et initiation maçonniques peuvent ĂȘtre compris dans une lumiĂšre soit dâimmanence, soit de transcendance. Ainsi, le Grand Architecte de lâUnivers peut ĂȘtre identifiĂ© au Dieu de Spinoza un Dieu immanent Ă la Nature elle-mĂȘme, Deus sive natura ; ce Dieu nâexiste pas en dehors de la Nature. Mais il peut aussi ĂȘtre conçu comme une entitĂ© personnelle situĂ©e dans un ordre de rĂ©alitĂ© absolument transcendantale, surplombant toute de La Table dâĂmeraude gravĂ©e sur un rocher dans une Ă©dition de lâAmphiteatrum Sapientia Eternae 1610 de lâalchimiste allemand Heinrich Kunrath, Houghton LibraryReprĂ©sentation de La Table dâĂmeraude gravĂ©e sur un rocher dans une Ă©dition de lâAmphiteatrum Sapientia Eternae 1610 de lâalchimiste allemand Heinrich Kunrath, Houghton Library21Dâautre part, en matiĂšre dâinteraction le franc-maçon peut considĂ©rer que le fait de pratiquer des rituels et de vivre une expĂ©rience initiatique nâimplique pas quâil exerce du mĂȘme coup une action quelconque sur un ordre de rĂ©alitĂ© dâordre supĂ©rieur sur un un haut », ni que cet ordre-lĂ serait disposĂ© Ă en exercer une sur sa personne. Inversement, il a aussi le droit de croire que par cette pratique et par cette expĂ©rience il met en branle des Ă©nergies venues dâen haut, lesquelles viennent concourir Ă lâavancement de son travail. Dans la Maison maçonnique ces quatre positions peuvent cohabiter. Elles ne sauraient que lâenrichir en raison de leur diversitĂ© mĂȘme. Car cette Maison est faite de plusieurs demeures, non pas dâune seule qui reposerait sur un systĂšme doctrinal hors duquel il nây aurait point de imaginaire de la verticalitĂ©22Tout cela dit, notons aussi que La Table dâĂmeraude relĂšve entiĂšrement dâun imaginaire de la verticalitĂ©. Un FrĂšre me disait tout rĂ©cemment en maniĂšre de plaisanterie Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, ce qui est Ă gauche est comme ce qui est Ă droite, ce qui est Ă droite et comme ce qui est Ă gauche ». Et dans le mĂȘme temps je retrouvais une phrase bien connue dâAndrĂ© Breton, qui Ă©crit dans un de ses Manifestes du SurrĂ©alisme annĂ©es 1920 Tout porte Ă croire quâil existe un certain point de lâesprit dâoĂč la vie et la mort, le rĂ©el et lâimaginaire, le passĂ© et le futur, le communicable et lâincommunicable, le haut et le bas cessent dâĂȘtre perçus contradictoirement ». Ce qui, dans la phrase dâAndrĂ© Breton et dans la plaisanterie de ce FrĂšre, retient mon attention, câest que toutes deux Ă©voquent une idĂ©e de complĂ©mentaritĂ© du vertical et de lâhorizontal23Or, justement, la Franc-Maçonnerie repose sur cette complĂ©mentaritĂ©. Elle peut donc se trouver tentĂ©e dâhypostasier lâune des deux dimensions au dĂ©triment de lâautre. Ă trop perdre de vue la verticale elle sâexpose Ă une dĂ©perdition de sens. Mais Ă trop nĂ©gliger lâhorizontale elle tombe dans la confusion du mythique et de lâhistorique, tend Ă ignorer sa propre histoire et, du mĂȘme coup, Ă projeter sur sa dimension verticale des contenus dĂ©tachĂ©s de tout ancrage proprement fameuse formule constitue un pĂŽle fĂ©dĂ©rateur de rĂ©flexions â conciliables ou non â, de rencontres, un fertile accoucheur dâidĂ©es, de mĂ©ditations. Certes, mais Ă condition de ne pas la brandir comme une sorte dâarticle de foi auquel on serait tenu de souscrire tout bonnement. Elle appelle, principalement en raison de son caractĂšre ambigu et unidimensionnel, une approche critique, laquelle relĂšve du travail du franc-maçon â travail qui consiste, notamment, Ă manier images et symboles avec discernement. Notes [1] Rencontre GOF â GLNF, 9 juin 2016. [2] SĂ©minaire de ma Direction dâĂtudes intitulĂ©e Histoire des courants Ă©sotĂ©riques et mystiques dans lâEurope moderne et contemporaine ». [3] Les comptes rendus de ces sĂ©minaires sont consultables dans lâAnnuaire des confĂ©rences de lâ E, Section des Sciences Religieuses, pour ces annĂ©es-lĂ . [4] Sur les premiĂšres versions, la rĂ©fĂ©rence obligĂ©e est toujours le travail philologique de RUSKA Julius, Tabula Smaragdina. Ein Beitrag zur Geschichte der hermetischen Literatur, Heidelberg Carl Winterâs UniversitĂ€tsbuchhandlung, 1926. On en trouvera un rĂ©sumĂ©, assorti de quelques commentaires datant du moyen-Ăąge et de la Renaissance, dans HermĂšs TrismĂ©giste. La Table dâĂmeraude et sa tradition alchimique, prĂ©facĂ© er Ă©ditĂ© par KAHN Didier, Paris Les Belles Lettres Aux sources de la traditionâ, 1994. [5] Dans son sonnet Correspondances » 1857 Baudelaire fait, par ce titre mĂȘme, allusion Ă Swedenborg, mais ce quâil dĂ©crit lĂ notamment Dans une tĂ©nĂ©breuse et profonde unitĂ© », Les parfums, les couleur et les sons se rĂ©pondent » relĂšve de la seule immanence. [6] PARACELSUS, Der zweite Traktat von der astronomia, in Das Buch Paragranum. CitĂ© par PAGEL Walter, Paracelse, Paris Arthaud, 1963, pp. 40, 78. [7] Ibid., pp. 40-41. [8] SWEDENBORG, De la Sagesse angĂ©lique sur le Divin amour traduction de The Divine Love of Wisdom, Seconde partie Le Soleil spirituel », § 83. [9] Cette Ăąme du monde, il lâappelle Astrum, ou Gestirn, ou encore Corpus. Cf. PARACELSUS, Ein ander ErklĂ€rung der gantzen Astronomey, Ă©d SUDHOF, vol. X, p. 448. CitĂ© par KOYRĂ Alexandre, Mystiques, spirituels, alchimistes du XVIe siĂšcle allemand Paris Armand Colin Cahier des Annalesâ X, 1955, chapitre Paracelse », pp. 45-80, ici p. 55, note 3. [10] [âŠ] so der Mensch ein Syderisches Leib in ihm hat, der vereinigt ist mit dem ausserlichen Gestirn, und die zwey Fabulieren mit einander , so der Syderisch Leib unbekĂŒmmert ist vom elementischen . » PARACELSUS, Ein ander ErklĂ€rung, op. cit., p. 418, citĂ© par KOYRĂ Alexandre, article Paracelse » citĂ©, , in Mystiques etc. op. cit., p. 54, note 2. [11] Quand les textes de Böhme ne traitent pas directement de ce scĂ©nario, ils sont sous-tendus par lui. [12] Ă titre indicatif, cf. la liste de rĂ©fĂ©rences donnĂ©e dans Sach- und Namenregister Franz v. Baaderâs sĂ€mmtlichen Werken = Band XVI, Anton Lutterbeck, Ă©d., Leipzig Literarisches Institut, p. 517. [13] BRYON-PORTET CĂ©line & KELLER Daniel, LâUtopie maçonnique. AmĂ©liorer lâhomme et la sociĂ©tĂ©, Paris Dervy, 2015.
Coupde bas en haut en boxe. De bas en haut : Mignonnes tout plein, et qui n'en perdent pas le nord. Qui vient de trop haut pour ne pas ĂȘtre ressenti ici-bas. de haut en bas. Ascensionniste théùtral de bas en haut. Donne le choix de haut en bas. PouffĂ© de bas en haut. Permet d'aller trĂšs haut ou de tomber bien bas. Souvent intime, de bas